Quand la glycémie est faible, c'est-à-dire quand le taux de glucose dans le sang reste modéré et sous contrôle, le niveau d'insuline secrétée par le pancréas est, lui aussi, très bas, voire insignifiant.
Bonjour Michèle,
Quand la glycémie est faible, c'est-à-dire quand le taux de glucose dans le sang reste modéré et sous contrôle, le niveau d'insuline secrétée par le pancréas est, lui aussi, très bas, voire insignifiant. Et, sans insuline, le risque de transformation de l'énergie du repas en graisse est pratiquement nul. Car en l'absence d'insuline, l'énergie du repas est orientée vers le brûlage (utilisation normale par l'organisme) au détriment du stockage.
Non seulement le risque de prise de poids est dans ce cas inexistant, mais le maintien d'un faible niveau d'insuline va même favoriser la perte de poids. En effet, l'absence d'insuline à pour effet de faire sortir les graisses de leur réserve (lipolyse) et de conduire l'organisme à les brûler, en les utilisant comme carburant. Et c'est ainsi que l'on maigrit !
Vous allez donc découvrir de quelle façon composer vos repas pour privilégier ce que j'appelle les bons glucides, c'est à dire les aliments dont l'index glycémique est bas (inférieur à 50) et très bas (inférieur ou égal à 35). Rassurez-vous, au bout de quelques semaines vous saurez les identifier avec une grande maîtrise.
Outre les fruits, les légumes et les céréales complètes, les bons glucides comptent dans leurs rangs les légumes secs (lentilles, haricots, pois chiches.) dont la consommation a malheureusement diminué d'au moins 80 % depuis 50 ans. Au contraire, nos grands-parents et arrière-grands-parents consommaient majoritairement des bons glucides, c'est-à-dire des aliments 100 % naturels. Et c'est sans doute pour cela qu'ils avaient moins de problème de poids que nous.

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